LA PRESSE EN PARLE
De souvenirs entendus en paroles récoltées aux portes des cafés, des mosquées ou des foyers Sonacotra de triste réputation, Nasser Djemaï a reconstruit les mémoires de ces vieux Chibanis, ces vieux émigrés des chantiers des Trente Glorieuses, jamais repartis au pays. Télérama
Avec leur jeu sensible, les cinq comédiens arabophones incarnent des hommes déracinés, tantôt faibles, tantôt grands. Chose rare et précieuse dans les oeuvres consacrées à l’immigration, ils le font sans misérabilisme. Politis
Voici des hommes dignes, lucides, en aucun cas dupes de leur condition, enfin mis en lumière dans leurs singularités respectives. Sur un écran défilent des images de femmes ; mères, épouses ou filles en qualité de fantasmes ou de souvenirs, tandis que des musiques de là-bas escortent ce voyage immobile. L’humanité
Quelle est l’étrange force d’Invisibles ? Nasser Djemaï réussi un pari trop rare dans le théâtre français : entrer dans le vif d’un sujet de société, appuyer là où ça fait mal et faire rire en même temps. Le Monde
DISTRIBUTION
texte et mise en scène : Nasser Djemaï
dramaturgie : Natacha Diet
assistante à la mise en scène : Clotilde Sandri
avec David Arribe, Angelo Aybar, Azzedine Bouayad, Kader Kada, Mostefa Stiti, Lounès Tazaïrt
et la participation de Chantal Mutel
musique : Frédéric Minière, Alexandre Meyer
scénographie : Michel Gueldry
création lumière : Renaud Lagier
création vidéo : Quentin Descourtis
costumes : Marion Mercier
régie générale, régie son : François Dupont
régie lumière : Pascal Pellissier
régie vidéo : Quentin Descourtis
stagiaire costumes : Olivia Ledoux
maquillage : Sylvie Giudicelli
Horaires et lieu de la sortie
RDV : 18h30 au Foyer Bisson 15, rue Bisson
Métro : Belleville ou Couronnes.
Spectacle : 20h00 au Théâtre LE TARMAC, 159 Avenue Gambetta
Métro : Pte de Lilas ou Saint-Fargeu